Arsen iKoland
Créateur des iKO, personnages emblématiques au profil noir et blanc qui forment une tribu urbaine unique, entre street art et art contemporain.

Biographie
C’est dans les rues parisiennes, il y a une quinzaine d’années, qu’Arsen a posé ses iKO pour la première fois. Il s’agissait de pochoirs qui ont évolué par la suite sur différents supports : sur papier sous forme de collage, sur toile et maintenant sur bois.
Bien que ses tableaux et ses customisations d’objets en tous genres restent ses principales créations, les collages et peintures “en extérieur” sont souvent présents dans son travail.
Démarche artistique
Arsen est le créateur des iKO, personnages au profil noir et blanc, formant une tribu du nom d’iKOland qui évolue dans un monde épuré, influencé par le graffiti, la bande dessinée, les pictos, les signalétiques de toutes sortes. L’idée étant la simplicité : du noir et blanc pour les personnages, des aplats de couleurs franches et contrastées pour leur environnement.
Pour Arsen, les iKO sont comme des logos, facilement identifiables et reconnaissables au premier coup d’œil. Ce sont des icônes contemporaines qui racontent des histoires urbaines à travers leur simplicité graphique et leur présence énigmatique.
Évolution et techniques
Au fil des années, l’artiste a développé différentes techniques et approches :
- Pochoirs : Technique originelle qui a donné naissance aux premiers iKO
- Collages : Intervention éphémère dans l’espace urbain
- Peinture sur toile : Création d’œuvres pérennes en galerie
- Installation sur bois : Nouveau support permettant des interventions plus sculpturales
Expositions notables
- 2023 : “iKOland Invasion”, Galerie Urban Art, Paris
- 2022 : “Street Signs”, exposition collective, Centre d’Art Contemporain, Lyon
- 2021 : “Urban Tribes”, solo show, Galerie Alternative, Marseille
“Les iKO sont des témoins silencieux de notre époque. Ils observent, ils questionnent, ils interpellent. À travers eux, je cherche à créer un dialogue entre l’art urbain et l’art contemporain, entre la rue et la galerie.”